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Philippe Bernaerts est né à Bruxelles en août 1968. Passionné de photo depuis l’adolescence, il
commence très tôt, avec boulimie, à immortaliser sur pellicule tout ce qui attire son regard.
Citadin dans l’âme, son sujet de prédilection deviendra vite l’art urbain au sens large. Ses clichés
révèlent ce qui se cache derrière notre quotidien. Ces passants et leur vie, ces tags ou ces façades,
que nous croisons tous les jours sans plus y porter attention, ont quelque chose à nous raconter. 

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Maria Baoli, née à Madrid, Espagne. Vit et travaille à Bruxelles.
Ses projets artistiques sont ancrés dans une envie profonde de revenir à des thèmes essentiels relatifs à l’intimité et au quotidien. En outre les sujets de la perception visuelle et le lien entre identité et territoire alimentent ses problématiques artistiques. [Lire plus]

Historien de formation, auteur d’un mémoire sur mai 68 en Belgique, Jonathan Bidaine, a pu étudier l’importance de la photo dans lors des grandes luttes sociales. Ces photos qui faisaient le tour du monde pour témoigner du courage de ceux et celles qui se battaient pour l’égalité et la justice. Ces photos qui perdurent tels des témoignages pour les générations futures. Qui nous rappellent que l’histoire fut écrite par les exploités. Contester [Lire plus]

Né en Belgique en 1983, c’est un peu par hasard que Jérémie Botte découvre le monde de la photographie. En 2009, à la recherche d’un « ailleurs »,  et accompagné alors d’un Fuji S100Fs acheté spécialement pour l’occasion, il part pour un voyage d’un an en direction de la Nouvelle Zélande. Tandis que les défis techniques s’opposent à lui et qu’il tente de les résoudre par essai-erreur, il y découvre le patrimoine naturel de ce pays d’exception et le plaisir de prendre en image des lieux aussi divers que variés. [Lire plus]

Né à Barcelone en 1985, Joan Calvet débarque à Bruxelles en 2013 afin d’y poursuivre ses études. Diplômé en Communication et Audiovisuel à l’université de Barcelone, il a toujours montré un intérêt certain pour l’image, que ce soit à travers la vidéo, ou à travers la photographie. Il découvre la photographie argentique, lors d’un séjour au Portugal.

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Lolo Dalette, photographe originaire de France, âgée de 22 ans, touchée par tout ce qui a trait à l'intime. Elle aime capturer la poésie qui émane de personnes ou de lieux, avec le plus possible d’authenticité et naturel, toujours avec pudeur et sensibilité. L'un de ces travaux présenté est consacré aux femmes qui ont été atteintes du cancer du sein. L'autre, sur une ferme et ses habitants, une famille chez qui elle a trouvé une réalité imaginaire...

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Née en novembre 1956 en Cantabrie en Espagne, María del Pilar Solana entame en 2013 des études à l’Ecole de photo Agnès Varda à Bruxelles.

Le premier de ses deux projets pour l’épreuve Intégrée est celui des cimetières de Laeken et d’Evere. Elle désire nous montrer la vie et la diversité dans les cimetières c’est-à-dire les personnes qui y travaillent, les visites et les évènements comme les enterrements,  [Lire plus]

Née en 1984 de parents immigrés espagnols, Laura Del Valle a grandi dans un milieu modeste mais – loin de tout stéréotype – portant un grand intérêt à l’art, aux débats et à la politique. Depuis toute petite, elle est inexplicablement attirée par les vieilles photographies, qu’elle observe pendant des heures. 
A 22 ans, après des études en Sciences politiques – spécialisation Sociologie politique – elle quitte son Bruxelles natal pour l’Amérique du Nord (Canada, Mexique) afin d’y poursuivre ses études. Passionnée d’art et de photographie, ce n’est que des années plus tard,  [Lire plus]

C'est l'esthétique des formes et l'envie d'apprendre à maitriser la lumière qui poussent Eugénie Gomez vers la photographie, avec l'achat de son premier reflex argentique en 1997. Ce sont plutôt les paysages qui l'attiraient, trop pudique pour oser approcher l'humain avec son appareil. Deux passages dans des écoles de photos et finalement elle attend l'ère du numérique pour revenir vers sa première passion. [Lire plus]

Léona Guyot est une jeune photographe de 23 ans ayant grandi en France. Dès l’adolescence, elle commença à s'immerger dans les rues de sa ville, puis aux alentours en les photographiant. Très vite, elle est envahie par une curiosité qui la pousse à voyager afin d'explorer de nouveaux espaces. Attirée par l'art urbain et les paysages industrialisés, elle inverse les tendances de l'esthétisme avec une vision de la beauté décalée et particulière, exploitant les lignes géométriques comme perspective visuelle. Allant des recoins cachés au quotidien en plein jour, et à la rencontre des personnes et des empreintes qu'elles laissent derrière elles, sa photographie est une ballade urbaine..[Lire plus]

Franco-Libanais, né à Bruxelles, c'est en France que Roland grandira et débutera ses premières études de musicien/comédien/cinéma. Le film Magnolia de PT. Anderson le marquera et révéléra définitivement sa passion pour le cinéma, C'est là qu'il décida de retourner à Bruxelles pour faire d'une pierre trois coups : tenter l'Insas en montage, découvrir sa ville natale mais surtout rencontrer son père qui ne l'a jamais vu grandir. C'est finalement la photographie qu'il choisira comme troisième média d'expression, qu'il considérera comme une thérapie, au delà de la passion. [Lire plus]

Photographe pasionnée, Alexandra Leroux pratique cette activité depuis une dizaine d’années. A travers les séries, elles mets essentiellement l’accent sur la photographie de portrait. Selon elle, un bon portrait est une représentation artistique d’une émotion, d’un instant ou d’une expression. Il se doit être à la frontière entre l’instant réel et l’interrogation. [Lire plus]

Née en 1987, Vjola Leskaj est originaire d’Albanie. Elle quitte son pays natal à l’âge de 12 ans pour s’installer à Bruxelles où elle vit depuis. Portant un intérêt pour les arts visuels, elle décide en 2013 d’étudier l’image photographique à l’École de Photographie Agnès Varda à Bruxelles . Le médium photographique se révèle pour elle une passion et une forme d’expression dont elle ne peut se séparer.[Lire plus]

Ingénieur-son de 47 ans, Jean-Yves Olivier est d’abord issu du milieu sonore, dans la publicité et l’enregistrement musical. Il en garde le goût de la construction ‘piste par piste’ du produit final.

Dans ses photographies, il tente de transposer cette méthode de travail ; à partir d’une image brute, il va ajouter ou retirer des éléments, modifier les couleurs, ajouter des effets subtils avant de mixer tous les éléments constitutifs de la photo finale.  [Lire plus]

Curieux et autodidacte dans différents domaines techniques ,Mehdi  vient naturellement à la photographie afin de satisfaire son envie de partager la vision légèrement décalée du monde qui l'entoure.    

Il fait ses classes dans la photographie événementielle et commerciale puis il migre lentement vers une photographie plus sociale .A travers ses études de photo, il a pu se confronter à des styles radicalement différents et nous offre l'occasion de nous interroger sur le sens caché de certaines  images qu'il nous livre de façon anodine. On retrouve dans ses photos ,un travail particulier sur la lumière et une volonté de s'éloigner des codes .[Lire plus]

Ex-Photographe autodidacte , pirate de l'instantané , de près comme de loin le regard se pose sur une quotidienneté emprunte d'agitation , 

où se mêle justesse et sensibilité.

Ces photographies sont le support de nos réalités respectives , justes , incisives et sans artifices , Cristóvão Pereira Martins nous ramène à nos propres existences ainsi qu'à celles des autres. [Lire plus]

Lionel Serra est un jeune photographe bruxellois âgé de 22 ans. Passionné d’amphibien et de nature, il découvre la photographie grâce aux tritons et aux salamandres qu’il élève et à son envie de partager sa passion. Travaillant avec de petits sujets, il développe un attrait à la macrophotographie pour ensuite l’approfondir dans des compositions abstraites.

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Autodidacte en grande partie, Michel van Reysen a un parcours classique, ses débuts en photo remontent à la fin des années 70 avec l'achat d'un Olympus OM1 et la découverte de la magie du noir et blanc, plus tard, dans les années 80 et 90 il a participé à différents ateliers chez Contraste et aux ateliers de la rue Voot où jil a perfectionné sa technique du noir et blanc.

Il complète actuellement sa formation à l’école de photographie de la ville de Bruxelles « Agnès Varda ».

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Comme il n’y a jamais de hasard mais bien des rendez-vous, Capucine se laisse guider au gré du temps et des rencontres depuis sa naissance. Belge d’adoption, la question de l’identité et du déracinement lui est légitime. Autodidacte en photographie, elle entreprend une investigation depuis quelques mois, au coeur de la Jungle, parmi les réfugiés de Calais.  [Lire plus]

Depuis son enfance, Malika photographie tous les moments de sa vie et cadre au mieux ce qui se meut autour d’elle. Après une formation d’aide soignante, d’animatrice et d’assistante logistique, elle décide d’entreprendre un cursus photographique afin d’appronfondir ses connaissances et se lance en investigation parmi les trisomiques et les transformistes. Deux univers opposés mais indéniablement commun sur le plan de l’humain. C’est un univers qu’elle découvre, une réalité sur laquelle peu de personne prend le temps de poser un regard bienveillant, comme elle le fait si bien.   [Lire plus]

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